Un grand vent est venue,
Mais tu n'a rien vu,
Le ciel c'est effondrer,
Mais tu na rien touché,
Comme si le destin t'avais désigner,
Pour être ma double personnalité.
Le plaisir de te voir,
Ma ouvère l'esprit d'un soir,
Le lendemain je t'attendrait,
Car mon coeur te désirait,
Mais tu n'ai pas venu,
Et un jour on c'est revu,
Mais tu ne ma pas reconnu.
Merci de ne pas prendre ce poème !
Mais tu n'a rien vu,
Le ciel c'est effondrer,
Mais tu na rien touché,
Comme si le destin t'avais désigner,
Pour être ma double personnalité.
Le plaisir de te voir,
Ma ouvère l'esprit d'un soir,
Le lendemain je t'attendrait,
Car mon coeur te désirait,
Mais tu n'ai pas venu,
Et un jour on c'est revu,
Mais tu ne ma pas reconnu.
Merci de ne pas prendre ce poème !